«L’Albanie, que ce soit dit une fois pour toutes, est toujours animée. Où que vous vous trouviez, marchés grouillants ou routes dans des paysages apparemment désertiques, il y a toujours du monde. Une foule, même : on va, on vient, on se bouscule, on s’arrête, on repart, suivant une logique de fourmilière, c’est-à-dire sans logique apparente. Ou alors on attend, le long des routes, sur les places, devant des officines. Dans un pays ruiné où le travail est précieux et rare, chacun a pourtant toujours quelque chose à faire.»

François Maspero, Balkans-Transit

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